Ike Turner: le brelan
Ike Turner en trois titres, parce que personne n'a demandé. Oui, avec ses Kings Of Rhythm, from Clarksdale, Mississippi. Nan, pas "Rocket 88", c'est Willie Kizart qui officie, déjà dit. Billy Gayles, now. Et soudain le solo destroy. 1956.
Bien éjecté de l'histoire rock, Ike était un killer de la Strat', dès 1954, la peinture encore fraîche. Avec le vibrato, ça a été love at first sight. En 1962, Dick Dale & Duane Eddy sur les talons, il riposte. Oui, Icky Renrut, c'est lui.
Du twist ? Si tu veux. D'tes façons, tellement tailladé au rasoir, que tu reconnaîtras plus. Swooping & diving paléo-hendrixiens, c'est dès qu'il peut, la foule rugit en retour. King con of the guitar abuse - en attendant pire, avec Tina.
Allez, on mégote pas, un titre de plus, on est entre nous. Barré comme une whammy? Sure he is. Ceusses qui ont déjà entendu un break comme à 1'20, faut qu'on parle. Les autres, ajustez votre chronologie punk. Démarrez en 1962, par exemple.