Crosstown Traffic sur France Inter
Votre blog préféré a fait l'objet d'une chronique d'Alexandre Boussageon, avec interview de votre serviteur ce vendredi 27 janvier 2006, dans radiofrance.fr/franceinter/chro/blogapart/index.phple cadre de l'émission "Blogs à part".
En voici la transcription :
*"Le fameux son Hendrix avec "Crosstown Traffic". Et par une manière d'hommage à celui que l'on vit jouer de la six cordes avec ses dents à rappelez vous, c'était à Woodstock - "Crosstown Traffic" est aussi, depuis peu, le nom d'un blog. Il y est question de rock and roll bien sûr, mais aussi de drogue. En particulier avec Grace Slick, la chanteuse, et l'égérie, du mythique Jefferson Airplane. L'homme qui raconte cet attentat à la cocaïne collectionne les anecdotes sur les grands noms du rock. Alors en route pour une séance nostalgie...
On commence avec les paroles de "Savoy Truffle", un morceau des Beatles. Il y est question de crème de mandarine de Montélimar, de fondant de coco qui chasse le blues, de dents qui se déchaussent. N'importe quoi, oui, et pour cause : ces paroles signées George Harisson auraient été partiellement recopiées de l'emballage des barres chocolatées dont abusait son pote Clapton.
Car Harisson et Clapton étaient copains. On n'en dira pas autant de Chuck Berry et Keith Richards, le batteur (sic) des Stones. La première fois qu'ils se sont rencontrés c'était sur la scène du Hollywood Palladium. En plein milieu d'un morceau, le premier a viré le second. Raison invoquée : il jouait trop fort.Le père de "Nadine", "Mabelyne", et autres titres devenus des standards du rock and roll, n'avait qu'une trouille : qu'on lui vole la vedette. Mais ce n'est pas fini. "Neuf ans plus tard, raconte notre blogueur, Berry rencontra à nouveau Richards dans un night-club, ne le reconnut pas plus et, pour des raisons encore mystérieuses, lui mit son poing dans la gueule".
L'auteur du blog lui-même n'est pas certain de la véracité des anecdotes qu'il met en ligne. N'empêche qu'après avoir visité "Crosstown Traffic", on n'écoute plus ses vinyles de la même oreille. En ce qui me concerne, je passe et je repasse sur ma platine Led Zep II, spécialement le morceau intitulé Moby Dick. Il paraît qu'après une minute trente-huit, on distingue un bruit bizarre imputé par notre blogueur à John Bonham, le batteur du groupe, en train de rajuster son tabouret. Ce serait dommage de passer à côté d'un tel événement !"*
Une chronique d'Alexandre Boussageon.
La fiche ici : http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/blogapart/index.php?id=40602
Pour écouter l'interview (Real Player), c'est ici : http://www.radiofrance.fr/listen.php?pnm=pnm://son.radio-france.fr/chaines/france-inter/chroniques2/blog/blog20060127.ra